Nota del Comitato di Redazione

Suite Ă  ton message d’hier. Merci. Aujourd’hui cet article sur le site hiram.be
C’est le grand bazar partout… đŸ€”đŸ˜ž

Nota del Comitato di Redazione

Gent.mi Lettori.
Nei giorni scorsi BETAPRESS ha pubblicato interventi, di AA diversi, incentrati sulle elezioni tenutesi in Italia in seno al GOI Grande Oriente d’Italia – Palazzo Giustiniani.
Le notizie si sono accavallate con una intensitĂ  e un ritmo persino frenetici e contenuti involontariamente contraddittori.
Per offrire un contributo in linea con la correttezza complessiva dell’informazione, cosĂŹ emendando causato fin qui pubblicato, abbiamo il piacere di porgere alla Vs. cortese attenzione l’odierno articolo apparso oggi sull’apprezzato e ben conosciuto periodico “Hiram.be”. Articolo che fa il punto definitivo sulla vicenda.
Buona lettura!

L’élection du nouveau GM du Grand Orient d’Italie contestĂ©e
Publié par Géplu
Dans Dans la presse

Ainsi que le relate le site Italy24.press, le Grand Orient d’Italie connait quelques tensions aprĂšs l’élection du successeur de Stefano Bissi, qui s’est dĂ©roulĂ©e le dimanche 3 mars. Alors que les premiĂšres estimations donnaient le challenger Leo Taroni vainqueur, la Commission Ă©lectorale a finalement dĂ©clarĂ© Ă©lu – avec seulement 26 voix d’avance sur prĂšs de 14 000 votants – le FrĂšre Antonio SĂ©minario, Grand MaĂźtre Adjoint de Bissi, qui le soutenait. Des recours devant la justice interne et la justice profane ont Ă©tĂ© annoncĂ©s par Taroni. Ce dernier avait axĂ© sa campagne sur la lutte contre les infiltrations mafieuses dans les loges.

La proclamation officielle des rĂ©sultats doit avoir lieu lors de la Grande Loge de Rimini prĂ©vue les 5 et 6 avril. Rappelons qu’à la diffĂ©rence de la France et de la Belgique, en Italie le Grand Orient est l’obĂ©dience dite « rĂ©guliĂšre », reconnue par la Grande Loge Unie d’Angleterre, et que l’obĂ©dience libĂ©rale est la Grande Loge d’Italie.

Au terme d’une vive polĂ©mique et d’une nuit de recomptages par la Commission Ă©lectorale nationale, Antonio SĂ©minario a Ă©tĂ© Ă©lu Grand MaĂźtre du Grand Orient d’Italie, la principale organisation maçonnique italienne. C’est la premiĂšre fois qu’un Calabrais est Ă©lu Ă  la tĂȘte du Goi. La victoire a Ă©tĂ© obtenue par seulement 26 voix et le verdict a annulĂ© un prĂ©cĂ©dent dĂ©compte – officieux – rĂ©sultant de la somme des voix dans les diffĂ©rentes rĂ©gions, qui attribuait la victoire par seulement 15 points Ă  Leo Taroni, un entrepreneur de Ravenne, qui, Ă  la tĂȘte de la liste “Nous ensemble”, il avait axĂ© sa campagne Ă©lectorale sur la lutte contre les infiltrations mafieuses dans les loges. Aujourd’hui, Ă  5 heures du matin, aprĂšs une nuit de travail, la Commission Ă©lectorale centrale a attribuĂ© 6.369 voix Ă  Seminario, soit 46,09 pour cent du total. 6.343 voix ont Ă©tĂ© validĂ©es en faveur de Taroni, soit 45,90 pour cent ; et dans la rĂ©gion de Bari Pasquale La Pesa 688 voix, soit 4,98 pour cent.

Soutenu par le Grand MaĂźtre sortant, le Toscan Stefano Bissi, Seminario occupait dĂ©jĂ  le poste de Grand MaĂźtre Adjoint du Goi. NĂ© Ă  Crosia, dans la province de Cosenza, le 5 fĂ©vrier 1958, il rĂ©side Ă  Rossano, oĂč est basĂ©e sa loge, le “Francesco Galasso”. Il convient de noter qu’environ la moitiĂ© des voix qu’il a obtenues ont Ă©tĂ© recueillies prĂ©cisĂ©ment en Calabre et en Sicile, tandis que Taroni a Ă©tĂ© le plus votĂ© en Sardaigne et dans tout le centre-nord, Ă  l’exception de l’Ombrie. La proclamation de la victoire du Seminario a cependant provoquĂ© de vives rĂ©actions de la part des partisans de Taroni, au point que l’ouverture de longues procĂ©dures de recours internes semble dĂ©sormais Ă©vidente, alors que de nombreuses voix rĂ©clament une scission du Goi. La liste “Nous ensemble” annonce en effet un recours immĂ©diat Ă  la justice interne de l’association, mais aussi un recours Ă  la justice ordinaire, sur la base de l’article 700 du Code de procĂ©dure civile, pour tenter d’obtenir d’urgence la suspension de la proclamation et l’annulation de l’élection. Certains partisans de Taroni n’excluent mĂȘme pas de recourir Ă  la justice pĂ©nale.